Vous n’êtes pas cassée. Vous êtes anesthésiée.

Pour beaucoup de femmes en transition hormonale, la ménopause et la post-ménopause ne provoquent pas de grands effondrements.
Elles arrivent avec un inconfort diffus, subtil.
Un vide sans nom — ce n’est ni une dépression, ni un déficit hormonal, ni un déséquilibre émotionnel.

Au contraire:
Tout est en ordre autour de vous.
Vous avez tout bien fait.
Votre vie est maîtrisée.
Et de l’extérieur, tout semble parfaitement “réglé”.

Mais c’est justement parce que vous avez tenu tout cela à bout de bras, avec autant de compétence pendant autant de temps, que le corps réagit maintenant autrement.

Vous vous adaptez.
Vous ne vous plaignez pas.
Mais vous ne ressentez plus.

Le plus grand risque, à ce stade, ce n’est pas de s’effondrer.

C’est de sentir que ce qui a toujours été simple — demande désormais de l’effort.

C’est continuer à tout gérer, avec le même engagement…
Mais avec un prix émotionnel de plus en plus élevé.

Trop d’ajustements en même temps.
Et chacun d’eux épuise un peu plus votre énergie.

Le corps, fatigué, commence à se déconnecter.
Vous restez performante — mais vous vivez en mode réduit.

Ce volume réduit devient la nouvelle norme.
Et petit à petit, la vie perd en légèreté.

Moins d’élan.
Moins de présence.

Et à un moment donné… cela touche aussi à l’intime.

Quelque chose d’essentiel s’est mis en veille.

Ce n’est pas une erreur.
C’est un mécanisme de protection.
Une économie de ressources, mise en place par le système nerveux, pour vous maintenir debout.

Il arrive un moment où l’équation ne tient plus.

Vous faites tout correctement.
Vous mangez bien, vous dormez, vous bougez, vous méditez.
Mais malgré tout… un malaise persiste.
Silencieux. Indéfinissable.

Ce malaise a un nom: l’anesthésie sensorielle.

Ce n’est pas un effondrement.
Ce n’est pas un bug.
C’est une adaptation.

Le corps est soumis à un stress — interne et externe.
Et pour vous protéger, votre système nerveux passe en mode défensif avancé.

Il coupe les stimulations.
Celles qui blessent — mais aussi celles qui pourraient vous faire du bien.

Vous ne sentez plus, non pas parce que votre corps a “cassé”,
mais parce qu’il a choisi de se préserver.

Inutile de forcer.
Inutile de chercher “plus de plaisir”.

Quand le corps est en protection, il ne veut pas plus — il veut autrement.

Ce qui fonctionne aujourd’hui, ce n’est pas plus d’intensité.
C’est de la précision.

Je vous propose une stratégie.
Sûre.
Neuroprotectrice.
Conçue en étapes.

Sans perte de performance.
Sans drame.
Et sans mystique.

C’est ce que j’appelle de l’intelligence sensorielle appliquée.
C’est du neurosomatique.

L’anesthésie a une issue.
Mais elle ne se dissout pas avec de la volonté — elle se traverse avec méthode.
La ménopause exige une stratégie. Et c’est exactement ce que je propose.

Pour réserver votre séance d’orientation, rendez-vous sur la

Referências bibliográficas

  • Perel, Esther (2006). Sexo no cativeiro: Reconciliação entre erotismo e intimidade. Rio de Janeiro: Objetiva.
    ➝ Especialmente os capítulos que abordam como o desejo e o erotismo reagem à repetição, trauma e excesso de previsibilidade.
    Perel fala da “adormecida do desejo” — mulheres que não estão doentes, mas que se desconectaram do corpo erótico como forma de autoproteção emocional e relacional.
  • Bass, Ellen (2008). O corpo em que nasci: Curando o trauma de abuso sexual. São Paulo: Summus.
    ➝ Livro direto e delicado, sobre como traumas sexuais na infância ou vida adulta provocam anestesia física e emocional — e como restaurar a sensação de segurança no corpo com pequenas práticas.
  • Ogden, Pat (2006). Trauma and the Body: A Sensorimotor Approach to Psychotherapy. New York: Norton.
    ➝ Traz fundamentos técnicos sobre como o corpo responde ao trauma com imersão, congelamento e anestesia — e como isso pode ser liberado através de abordagens somatossensoriais, como no seu método.
  • Van der Kolk, Bessel (2015). O corpo guarda as marcas: Cérebro, mente e corpo na cura do trauma. São Paulo: Companhia das Letras.
    ➝ Essencial. Traz evidências de que o trauma desconecta o sistema nervoso da percepção prazerosa, e que práticas corporais com segurança podem restaurar essa ponte.
  • McEwen, B.S. (2002). The End of Stress as We Know It. Washington DC: Joseph Henry Press.
    ➝ Mostra como o estresse crônico altera o cérebro, desregula os hormônios e compromete o sistema límbico — reduzindo percepção de prazer e conexão emocional.
Image de Cristiana Bolli

Cristiana Bolli

Spécialiste en neuroplasticité appliquée au corps féminin, avec plus d'une décennie d'études et de pratique clinique, Cristiana a créé une approche qui intègre la santé hormonale, l'écoute somatique et la vitalité sensorielle.

Image de Cristiana Bolli

Cristiana Bolli

Spécialiste en neuroplasticité appliquée au corps féminin, avec plus d'une décennie d'études et de pratique clinique, Cristiana a créé une approche qui intègre la santé hormonale, l'écoute somatique et la vitalité sensorielle.

© Cristiana Bolli 2025 - Feito com amor por Ekanu NeuroMarketing.Lab. Todos os direitos reservados.